Les chichichons ch'é fé !
Ouf !
Ben boudiou, c'était pas rien. A c't'heure, 58 saucissons sont pendus dans la cave chez mes parents, y vont y chècher tranquillement, à l'abri des brodeuses gourmandes qui languissent déjà d'y gouter !
Vous z'inquiétez pas, les filles, pour le 1er mai j'en ai encore un ou deux de l'année dernière, voyons !
Bon, je ne vais pas vous faire le même reportage que l'année dernière, çà ne présente aucun intêret, mais je vous dévoile un peu des coulisses.
Cette année, on a planté le chantier chez nos co-saucissonniers. Les mêmes que l'année dernière, Loic et Sabine.
Samedi 10h, débarquement du matos.
Samedi 11 h, on a commencé de bosser depuis quelques heures minutes, faut se refaire des forces ! Admirez au passage le mouvement souple du poignet de zhom pour saisir son verre... tout un art !
Grande nouveauté cette année : le hachoir électrique !
3 heures de moulinettage manuel intensif remplacées par... 20 minutes de vroum-vroum !!
Trop bonnard, hihi !
Je passe sur l'apéro et le repas, frugal comme il se doit, en ces journées de travail pharaonique !
Et on arrive à l'assaisonnement. Moment d'intense concentration : zhom dose les verres de rhum
Puis c'est le tour des autres ingrédients. (Je vous transmets la recette intégrale et exclusive contre un virement comment dirais-je... heu... conséquent ! sur mon compte paypal XY, me contacter pour de plus amples renseignements, ben oui, faut que j'amortisse, hihi !)
Et voilà ! Yaplukà touiller et touiller encore.
Et laisser reposer jusqu'au lendemain.
Je passe sur le repas du soir, frugal comme il se doit, (dans un petit restau chinois pas loin de chez toi, Nanette)
Et nous voilà le dimanche prêts pour la suite.
La suite, c'est la mise en boyaux, la fabrication proprement dite.
D'abord le coupage des ficelles...
Tiens, çà me donne des idées pour l'embobinage de mes prochaines échevettes, hihi !
Puis ensaucissonnage,
puis re-...
(ben oui, y'avait des restes, faut pas gâcher ! )
Puis re-ensaucissonnage,
puis re-repas frugal, comme il se doit,
puis re-...
puis...
Le repos des Maitres-Saucissonniers, hihi ! Et je vous promets, c'est pas une pose èsqueprès pour la photo, c'est de la vraie-vraie sieste ! Avé les ronflements et tout et tout !
Et puis fin du saucissonnage, nettoyage, rechargeage de la ouature et nous voilà repartis avec 31 kg de miam miam.
Et puis zut, j'ai oublié de prendre en photo le résultat de notre travail acharné !
Je me rattrapperai dans la semaine, quand j'irai les tâter (les saus', pas les dormeurs, pff, vous suivez pas, hein !), paske faut surveiller le chéchage maintenant !
Et puis rendez vous dans environ un mois pour la dégustation du premier...
A bientot pour l'article "dangereux" !
NB pour fifille2 (Isabelle) : Nononon, tu n'en aura pas avant ! Nanmého !
Ben boudiou, c'était pas rien. A c't'heure, 58 saucissons sont pendus dans la cave chez mes parents, y vont y chècher tranquillement, à l'abri des brodeuses gourmandes qui languissent déjà d'y gouter !
Vous z'inquiétez pas, les filles, pour le 1er mai j'en ai encore un ou deux de l'année dernière, voyons !
Bon, je ne vais pas vous faire le même reportage que l'année dernière, çà ne présente aucun intêret, mais je vous dévoile un peu des coulisses.
Cette année, on a planté le chantier chez nos co-saucissonniers. Les mêmes que l'année dernière, Loic et Sabine.
Samedi 10h, débarquement du matos.
Samedi 11 h, on a commencé de bosser depuis quelques heures minutes, faut se refaire des forces ! Admirez au passage le mouvement souple du poignet de zhom pour saisir son verre... tout un art !
Grande nouveauté cette année : le hachoir électrique !
3 heures de moulinettage manuel intensif remplacées par... 20 minutes de vroum-vroum !!
Trop bonnard, hihi !
Je passe sur l'apéro et le repas, frugal comme il se doit, en ces journées de travail pharaonique !
Et on arrive à l'assaisonnement. Moment d'intense concentration : zhom dose les verres de rhum
Puis c'est le tour des autres ingrédients. (Je vous transmets la recette intégrale et exclusive contre un virement comment dirais-je... heu... conséquent ! sur mon compte paypal XY, me contacter pour de plus amples renseignements, ben oui, faut que j'amortisse, hihi !)
Et voilà ! Yaplukà touiller et touiller encore.
Et laisser reposer jusqu'au lendemain.
Je passe sur le repas du soir, frugal comme il se doit, (dans un petit restau chinois pas loin de chez toi, Nanette)
Et nous voilà le dimanche prêts pour la suite.
La suite, c'est la mise en boyaux, la fabrication proprement dite.
D'abord le coupage des ficelles...
Tiens, çà me donne des idées pour l'embobinage de mes prochaines échevettes, hihi !
Puis ensaucissonnage,
puis re-...
(ben oui, y'avait des restes, faut pas gâcher ! )
Puis re-ensaucissonnage,
puis re-repas frugal, comme il se doit,
puis re-...
puis...
Le repos des Maitres-Saucissonniers, hihi ! Et je vous promets, c'est pas une pose èsqueprès pour la photo, c'est de la vraie-vraie sieste ! Avé les ronflements et tout et tout !
Et puis fin du saucissonnage, nettoyage, rechargeage de la ouature et nous voilà repartis avec 31 kg de miam miam.
Et puis zut, j'ai oublié de prendre en photo le résultat de notre travail acharné !
Je me rattrapperai dans la semaine, quand j'irai les tâter (les saus', pas les dormeurs, pff, vous suivez pas, hein !), paske faut surveiller le chéchage maintenant !
Et puis rendez vous dans environ un mois pour la dégustation du premier...
A bientot pour l'article "dangereux" !
NB pour fifille2 (Isabelle) : Nononon, tu n'en aura pas avant ! Nanmého !